On me dit que je suis paresseux Que je ne fais que ce que je veux C'est a dire, pas grand chose On dit que je me repose Je suis desole Je n'ai que deux
etre heureux comme un pape, J'ai un noeud pap', J'suis invite, Moi qui aime trainer la savate, Les belles cravates Et l'oisivete, Et discuter du grand
Bambi, Un jesus de deux metres, Bambi, Il faut le connaitre, Bambi. Quand j'le croise sur mon chemin, Bambi m'etrangle la main, Pas casser les jouets
dans son lit. Soit je ne suis pas un moine, J'dissipe mon patrimoine Dans ce bar un peu glauque, Ma voix est dev'nue rauque A la suite des abus Mais
puits. Une chauve-souris Aimait un parapluie, Un grand parapluie noir Decoupe dans la nuit (bis). Sans jamais s'emouvoir Pour cette chauve-souris, Le grand
cigarette, J'imagine un cigare qui fume, Une patisserie qui vaut l'detour, Une danseuse avec une plume Dans la pice montee des grands jours Elle: Pourvue
Quand il est morose. Il etrangle son semblable Dans le bois d'Meudon Quand il est inconsolable, Quand il a l'bourdon. A la barbe des voisins Qui le trouve
Tes levres, Louise Sont des portes d'eglise Ou j'entre le matin Le chapeau a la main Tes levres, Louise Penses-tu ce qu'elles me disent ? Ou c'est du
Roselyne et moi, nous regardons l'plafond, Mon estomac produit des borborygmes, Mon oesophage fait des bruits de siphon, Je n'y peux rien, le ventre
Elle est venue faire son toit Dans la robe de bois De mon harmonium, Comme elle est mignonne. "rititi, ratata" Dans mon harmonium, Y'a une araignee enorme, Je lui joue des
prmieres couronnes de fleurs J'ai deja la dent, C'est mon estomac qui pleure A chaque enterrement. Comme un cote du cimetiere Est inhabite, J'ai plante des
sur une chaise Car elle est plus grande que moi, Faudrait que j'monte sur une chaise, Ca va mieux quand elle s'asseoit. J'suis comme au pied d'la falaise Quand son grand
Je travaille au "Chat Botte" Dans le centre-ville, Je vends l'hiver et l'ete, des mules en reptile C'est mon destin je suppose, J'ai quinze ans d' maison
Je suis dev'nue la bonne Tout ce mal que j'me donne Pour faire partie des meubles. Jamais un bouquet de roses Comme quand j'etais ta chose, Pas l'amour
pouf Plutot mort que vif, Je n'ai pas eu le temps de dire "ouf", J'etais dans tes griffes. Ce fauteuil a grand dossier Brode d'une rose, Fait parti des
me saoule Avec du whisky Sachant qu'a la vue du sang J'suis aux abonnes absents, Je m'evanouis. J'ai trouve dans ma chaussure Un necessaire de coiffure, Le jour de Noel : Des
de Narbonne Et gentiment elle butine Un diabolo grenadine. Ainsi revassait le lion Devant sa consommation. Il voit venier un moucheron Vetu d'un complet marron Avec des
maudit canasson Renaissait de ses cendres, Je serais l'Alexandre Du debit de boisson. Mais si un autre equide Sort du cornet a des, Je rend mon tablier