Que jamais on ne me delivre Des liens de mon enfance Que jamais je n'ouvre le livre Ou je comprendrai mes souffrances Que jamais je ne puisse paraitre
La nuit est si belle Et je suis si seule Je n'ai pas envie de mourir Je veux encore chanter Danser et rire Je ne veux pas mourir Mourir Avant d'avoir
De toute evidence il est des absences qui refusent d'eteindre leurs feux A chacun sa route la tienne a sans doute fait de toi un homme heureux Tu veux
Il pose son regard au ciel Pour trouver un nuage Il s'accroche car ce soir c'est jure Dieu donne un orage Il peut rester des heures A guetter en silence
Regarde les gens qui s'embrassent Regarde les arbres au printemps La naissance magique d'un arc-en-ciel Regarde le rire d'un enfant Regarde les mains
Si la tendresse et la poesie Nous ont laisse leur nostalgie Combien de ces choses avons nous perdu Puisque tu es loin et n'y penses plus ? J'ai si mal
Chere Mrs Jones Vous savez qu'il me manque Vous comprenez Mrs Jones J'ai mis dans un coin pour l'oublier L'idee meme de l'aimer Je pensais que rien ne
Tant bien que mal Tu vois la souffrance appartient a l'amour un peu comme le silence a la fin de ce jour il faut de la patience pour se rencontrer peut
Tu peux tout emporter Ce qu'il reste du passe Pleure dans mon ame Mais pour toi c'est termine Ton c?ur est en panne Tu sais, tu sais ces sanglots Qu'on
Sur les traces du silence Ils surgissent des sables La poussiere et l'absence Jamais ne les accablent Ils s'en vont dans la nuit Pour chercher un soleil
La nuit descend a peine Et les routes s'enchainent Comme un ruban sans fin No no no Elle roule et tout va bien Branchee sur la FM La musique qu'elle aime
Qu'est ce que tu sais de moi Un sourire, un regard Au fond on s'connait pas Mais t'aimes bien ce brouillard Alors tu m'aimes les yeux fermes Sans regarder
Quelle que soit la maniere Dont mes mains te raccrochent Meme si notre univers Nous garde toujours proches Je te perdrai Quelle que soit la lumiere Que
Au nom d'une femme Celle qui porte le nom Du pere Et qui le perd Ce n'est pas sans larmes Qu'on passe les deserts Les rides Et la peur du vide Quand
Au bout d'la route, au bout du compte les seuls jolis moments qui comptent sont ceux dont on n'se souvient pas les patins ca roule, les souvenirs ca tangue
On se fait des idees sur les gens On oublie trop souvent qu'on est tous des enfants Libres, de s'aimer simplement On se croit sans se regarder vraiment
Entre nous, y avais trop de silence, de tabous D'instants remplis d'absences, c'etait trop flou Toutes ces transparences Entre nous, y avait ce vide immense
Des images me reviennent comme le souvenir tendre d'une ancienne ritournelle autre fois en decembre Je me souviens il me semble des jeux qu'on inventait