repu l'on en meurt. Tu m'invites a prendre ma place a partager le miel des honneurs de ton coeur. Volontiers j'accepte le meilleur traitement Que l'on
grave, plus que les garcons de ton age, comme lorsque tu etais enfant. Rue Caumartin je te guette et l?apprehension me vide, tous ces regrets douloureux, me rongent comme l
Voyageur egare, sans passe Et sans route tracee, detournee Sous les pluies torrentielles, les etincelles Les orages de l'ete et la valse de ton ombre
des chateaux de sable, je reste ton element stable et qu'avec moi, tu voudrais bien manquer la vie .... mais si tu flirtes avec les cimes tu entrevois aussi l
adore adorer j'adorais l'adorer. J'ai ete si vivant, chaque minute, chaque seconde, mais avant d'abhorrer ses humeurs vagabondes, desadorer l'adorer. Avant que l
, L?amour ne suffit pas, J?ai fait ce que j?ai pu Avec ce que t?as pas. Tu te demerdes plutot bien, Le glam?, le decor, Le gout de l?image et du
desordre des sens, le demon qui te pique, comme la nature chimique de mon attachement a toi, a la tenebreuse clarte, cueille, cueille, ces fleurs de l
et je deviendrai a mon tour, ton obsession. Comme un chant qui t'obsede, je t?offense et tu cedes a toutes les terreurs, la superstition. De l?idee fixe
libre comme l?air Oui, je suis libre comme l?air Je n?ai plus de liens plus d?attaches Mais par sa chaleur irradiee Comme si l?astre de feu dans l?atmosphere
, tiens, prends ma main pour toujours, toujours pour toi, les envolees du paradis, les flammes de la vie les amandiers en fleurs sur l'horizon, toujours
refait ma vie, Ici. Il flotte un si merveilleux parfum sucre De fleurs eclatees, Comme un je-ne-sais-quoi de sacre, Dans le ciel d?ete, L?azur est aveuglant